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Le processus évolutif

de la connaissance

de notre Univers

par Richard DOYLE

Introduction au calendrier maya ~ page 1 de 3

En vous présentant ce texte, et n’ayant pas la prétention d’être un spécialiste du calendrier maya, vous pouvez de prime abord vous demander quels sont les liens avec le contenu des articles que j’écris habituellement et qui visent entre autres à attirer votre attention sur l’émergence dans notre conscience de l’énergie émanant de la constellation de la Lyre et de son étoile Alpha : Véga. Pour répondre à cette question, je vous invite à lire ce texte d’introduction sur la connaissance du calendrier maya. Il est en très grande partie une traduction et une retranscription de l’enseignement de Ian Xel Lungold[1]. Ian était l’un des principaux vulgarisateurs et diffuseurs de cette connaissance.

Le « hasard » aidant, lorsque j’ai amorcé l’écriture de cet article ( 6 octobre 2007), l’astéroïde 1915Quetzalcoatl, connu chez les Mayas comme Kukulkán[2], transitait en compagnie de 2Pallas, (l’indicateur de la présence de notre guide spirituel) le 2°28 dans le signe des Poissons. Ce duo transitait alors dans mon thème astrologique de naissance les astéroïdes 2Pallas[3], 4Vesta[4] et 58534Logos[5], qui représentent les facultés intuitives qui m’ont permis d’être réceptif à l’information véhiculée et retransmise par l’intermédiaire des astéroïdes en transits. Sa mise en forme ainsi que sa diffusion sont activées par la progression de ce duo vers le 4e degré des Poissons pour former un aspect exact à mon Mercure de naissance en Gémeaux.

 

Au niveau du symbolisme Sabian, ce 3e degré des Poissons, la phase 333, nous décrit : des troncs d’arbres pétrifiés gisent épars sur le sable du désert. Dominante : le pouvoir, propre aux cultures parvenues à une pleine maturité, de conserver des témoignages de leurs réalisations. Dane Rudhyar commente ainsi : ce degré apporte la promesse de l’immortalité sociale – la préservation des éléments durables dans toutes les actions que l’homme entreprend au sein de sa culture. Un symbole d’INDESTRUCTIBILITÉ.

 

Indéniablement, le calendrier maya est l’un de ces troncs d’arbres pétrifiés puisque, comme vous le verrez à travers les propos de ce texte, il nous permet de retracer les grandes périodes de l’évolution de l’Univers matériel visant uniquement à faire progresser notre état de conscience afin que l’on redevienne des Êtres cosmiques, des Filles et des Fils de Dieu, et donc, des cocréateurs de notre Univers.

 

 

 

La connaissance de notre environnement[6]

Qu’est-ce que la connaissance de notre environnement? Il est important de s’entendre au départ sur une définition commune de cette connaissance, car toute la présentation de Ian est basée sur cette définition. Il suggère l’idée que la connaissance de notre environnement c’est d’avoir conscience, dans le sens d’être lucide, d’être conscient, dans le sens d’être éveillé, tel Bouddha. Ainsi, à chaque fois que vous remarquez que vous remarquez quelque chose, vous venez d’expérimenter votre propre connaissance de votre propre environnement.

L’une des théories de la psychologie sociale moderne s’exprime par la formule suivante : Comportement  =  Personnalité  x  Environnement ; C = P x E[7].

Deux écoles de pensée s’opposent relativement à la construction du Comportement. Les béhavioristes radicaux[8] croient, eux, que seul l’Environnement façonne notre Comportement : C = E. Alors que le père de la psychologie sociale, Kurt Lewin[9], nous explique que le Comportement est le fruit de la Personnalité et de l’Environnement : C = P x E.

En fonction de notre évolution, on serait plus axé sur l’Environnement ou sur la Personnalité. Par exemple, quelqu’un qui a une bonne estime de soi ( un P fort) s'adaptera facilement à son Environnement (E). Ainsi, plus l'estime est forte (la connaissance de soi) plus on est en mesure d’entrer consciemment en contact avec notre Environnement.

 

Dans cette formule, la Personnalité ne fait référence qu’à l’expérimentation de notre âme dans l’Environnement terrestre, et donc, dans un corps matériel.

 

 

" La connaissance du monde physique est insuffisante pour nous révéler la vérité. Le monde physique, c’est-à-dire ce que l’on peut voir, entendre, toucher, mesurer, peser, est seulement une manifestation, une conséquence lointaine du monde de la vérité. Nous croyons saisir là la vérité, alors que nous ne percevons que son vêtement, une écorce. La vérité est un monde de perfection qui a des manifestations dans les trois plans, spirituel, psychique et physique : au travers des vertus dans le plan spirituel ; au travers des pensées et des sentiments dans le plan psychique; au travers des formes, des couleurs, des sons, etc., dans le plan physique."

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

Mais, il est également possible d’exprimer notre degré d’évolution spirituel à partir de cette même formule qui se traduit ainsi :

 

Conscience = Être Trinitaire x Environnement

C = ET x E

ou

Notre état de CONSCIENCE

  = la CONNAISSANCE de notre ÊTRE

 x la CONNAISSANCE de notre environnement

Conscience Être Trinitaire   Environnement
Comportement la connaissance total de notre être l’Univers
Notre point de vue  Notre connaissance personnelle résultant de notre expérimentation dans l’Univers  Évolution de notre perception de notre environnement au fur et à mesure qu'il se dévoile ( dé-couvre)
ce qui correspond à l’énergie émanant de notre noyau rayonnant Personnalité (ou la Matière) + Âme + Esprit l’univers terrestre + l’univers planétaire + l’univers galactique + multivers

 

Ainsi, l’Être Trinitaire ( le soi individuel) expérimente toutes les facettes de l’environnement global ( le soi collectif) constituant l’Univers. Au fur et à mesure que progresse cette expérimentation l'âme et l'Univers fusionnent pour créer la Conscience qui émerge du processus d’intégration de la CONNAISSANCE de notre environnement : C = ET x E.

Tout en se rappelant que tout être est trinitaire dans sa constitution, on peut cependant noter que selon le domaine d’expérimentation, et donc de conscience de chacun, différents éléments de cette formule vont prédominer.

Par exemple, la Conscience d’un scientifique aura sa Personnalité qui prédominera, pour un poète ce sera son Âme, alors que pour un philosophe, ce sera son Esprit.[10]. Ce qui évidemment n’empêche pas de retrouver des gens qui seront à la fois un scientifique, un poète et un philosophe, tel l’astrophysicien Hubert Reeves.

 

 

C’est la même chose pour la variable Environnement, alors que chacun aura un intérêt plus ou moins fort pour les trois plans environnementaux : terrestre, planétaire et galactique.

On peut donc extrapoler des propos de Kurt Lewin que plus la connaissance spirituelle de soi est forte plus on est en mesure d’entrer consciemment en contact et de pénétrer les multiples plans constituant notre réalité et d’entrer en contact avec les êtres qui les habitent. C’est ce qui caractérise les pérégrinations de notre âme dans son processus d’expérimentation des univers : celui terrestre ( la forme matérielle), le planétaire ( l’âme ou le spirituel) et le galactique (l’esprit).

 

 

Qu’est-ce qu’un calendrier?

Un calendrier est le point central unificateur de toute civilisation. Le point central autour duquel gravite tout ce qui constitue une civilisation, c’est un calendrier. Des dates d’échéances, des dates pour payer vos factures, les jours que vous travaillez, le jour de votre graduation, votre date de naissance, votre âge. Tous ces éléments se réfèrent au calendrier, incluant votre performance, combien de gadgets peux-tu produire pour mercredi? Un calendrier est une convention au sein d’une société ou d’une civilisation qui permet de définir le jour, l’année et l’époque où nous sommes rendus. Pour cette raison, le calendrier est le point central qui conditionne le processus évolutif de la connaissance de l’environnement de toute civilisation. Notre, et votre, connaissance de ce qui fut et ce qui sera est lié a notre calendrier.

On peut donc percevoir l’importance du calendrier en tant que pivot central. En fait, la connaissance occupe toujours un emplacement.

Dans la figure 1, le point, qui est en quelque sorte le point focal, représente la connaissance. Ce point peut être positionné, ou orienté, en fonction de deux facteurs. Un facteur étant une décision vous permettant de définir une chose. L’un de ces facteurs est le temps et le second est le lieu. Le temps et le lieu sont les deux facteurs qui vont orienter votre connaissance de votre environnement. Vous pouvez le constater ici et maintenant, car vous avez décidé de vous asseoir là où vous êtes actuellement pour lire cet article. Et ç’a été comme cela toute votre vie, vous avez toujours choisi d’être à un certain endroit à un certain moment. C’est ce qui définit l’environnement avec lequel vous êtes en contact et duquel vous tirez votre expérience et donc votre connaissance. Chaque endroit possède une orientation différente de la connaissance environnementale. Par exemple, Montréal possède une connaissance environnementale différente de Paris. Également, la connaissance d’une personne ayant vécu au 15e siècle sera différente de la vôtre, qui vit au 21e. Par conséquent, certains éléments faisant partie de votre quotidien auraient de la difficulté à trouver leurs places dans ce qui constitue la connaissance du 15e siècle, et c’est inversement tout aussi vrai.

 

 

 

En tant qu’occidentaux, notre connaissance de l’environnement constituant notre Univers fut conditionnée au départ par le fait de définir la Terre comme étant le centre de l’Univers. Puis le Soleil, puis le Centre Galactique, puis à ce que les scientifiques appel « l’amas local », puis vers le « superamas de la Vierge », puis vers le Grand attracteur[11]. En remontant dans le temps, toujours basé sur un calendrier, on arriverait même à un moment où toute la matière connue était concentrée en un seul point central de densité inouïe, ce que l’astronome belge l’abbé George Lemaître ( 1894-1966), appela « l’atome originel », et c’est l’éclatement de cet atome, le Big Bang, qui marqua le début de l’Univers matériel.

Mais comme l’affirma Einstein, il importe peu que ce soit la Terre qui tourne sur elle-même se déplaçant dans l’Univers ou que ce soit plutôt l’ensemble de l’Univers qui tourne autour d’une Terre immobile, puisque ce sont les mêmes forces qui sont en présence. Par conséquent, chaque Être demeure le point central de son univers et donc, le point focal de la connaissance concernant SON environnement.

Donc, différentes périodes de temps, ou époques ont différentes orientations de la connaissance environnementale, aussi bien que différents lieux. Ce sont ces deux facteurs qui permettent d’établir votre « point de vue ». Votre « point de vue » est le point focal duquel vous observez l’Univers. Votre « point de vue » est absolument sacré, et ce, pour une simple raison, car vous êtes la seule personne qui peut le détenir. D’autres personnes peuvent être en accord avec votre « point de vue », mais ils ne peuvent le posséder, d’autant plus que vous ne pouvez leur donner. Par conséquent, toute l’information que vous allez tirer de cette lecture ne peut changer votre « point de vue », elle ne peut qu’alimenter votre « point de vue », et c’est à vous d’en faire usage selon votre bon vouloir.

 

Une seule Loi

Il existe une seule Loi dans l’Univers, une seule. Elle est morcelée en plusieurs autres, mais à la base il n’y a qu’une seule Loi. Cette Loi est : « Ce qui attire votre attention, c’est ce que vous devenez conscient de », augmentant ainsi graduellement la connaissance de votre environnement. Lorsque l’on parle de notre évolution spirituelle, on parle souvent de la capacité que l’on a d’exercer notre libre choix. Mais en réalité, le seul libre choix que l’on a, c’est de choisir dans toute circonstance sur quoi je vais fixer mon attention, et donc, de quoi mon environnement sera constitué, duquel je tirerai ma connaissance.

C’est d'ailleurs ce principe qui guide l’utilisation des petits astres dans un thème astrologique. Au fur et à mesure qu’on étudie notre thème et qu’on y insère graduellement de nouveaux éléments astronomiques, on augmente la perception que l’on a de notre environnement personnel, on augmente notre champ de conscience, on alimente notre « point de vue » et donc, notre connaissance de notre SOI personnel.

 

Le calendrier grégorien

Le point focal absolu de notre civilisation est appelé le calendrier grégorien. Ce calendrier fut instauré par le pape Grégoire XIII en 1582, année qui fut appelée « l’Année de notre Dieu ». Le calendrier grégorien représente les règles établies par l’Église catholique nous permettant de calculer le temps, et donc nous permettant de définir la date du  jour où nous sommes rendus dans notre processus collectif d’évolution.

 

Si l’on se reporte en 1582, le concept de notre Soleil occupant le centre de l’Univers n’avait qu’une quarantaine d’années, puisque les théories de Nicolas Copernic n’ont été publiées qu’en 1543. On peut cependant observer que la 72e devise de la « Prophétie des papes[12]» associée au règne de Grégoire XIII est la suivante : MEDIUM CORPUS PILARUM. L’un des sens qu’on peut attribuer à cette devise étant : LE CORPS (SOLEIL) AU MILIEU DES PLANÈTES[13].

Le calendrier grégorien est basé très précisément sur la période de temps que met notre Terre à faire le tour du Soleil, soit 365,2425 jours. Par conséquent, notre perception du temps et donc le point focal de notre connaissance environnemental est basée sur ce cycle répétitif du déplacement de la Terre autour du Soleil.

 

 

Le calendrier grégorien fut déployé dans les pays peuplés d’autochtones grâce aux conquêtes des Espagnols qui furent supportés par les évêques catholiques, imposant par le fait même aux peuples conquis leurs notions du temps. La plupart de ces civilisations possédaient déjà leurs propres calendriers, et pour imposer leurs « points de vue », les conquérants durent convertir à leurs « points de vue » ces gens et exterminer des millions et des millions des plus rébarbatifs qui étaient, selon leurs « points de vue », des ignorants.

Le calendrier grégorien est un outil nous permettant de calculer le déplacement PHYSIQUE de l’orbite de la Terre, et par conséquent il devient un outil très insidieux. On ne pourrait penser qu’un calendrier ait autant de pouvoir. Cependant, ce calendrier a fixé et limité le « point de vue » de la connaissance environnementale de notre civilisation en se basant uniquement sur des considérations d’ordres PHYSIQUES : le déplacement d’objets physiques à travers l’espace environnant. C’est pour cette raison qu’on ne parle plus de « l’Année de notre Dieu », puisque le calendrier grégorien oriente notre connaissance environnementale dans une seule direction et qu’il a généré une érosion graduelle de notre connaissance environnementale des choses qui ne font pas partie de notre environnement PHYSIQUE. Il existe d’autres formes de calendrier basé sur le déplacement de certains autres astres, la Lune par exemple, mais le grégorien est le plus insidieux, car c’est celui qui fut adopté universellement principalement afin de régulariser les échanges commerciaux. Les autres calendriers étaient également des calendriers « physiques », mais parce qu’ils comportaient des notions spirituelles, ils furent rejetés. Tout fut ramené à un unique « point de vue », celui du calendrier grégorien, qui décrète : ceci est LE calendrier et ceci est LE jour.

Ce « point de vue » est d'ailleurs perçu comme étant la plus grande vérité incontestable répandue sur la Terre : le jour que l’on est. Aucune personne ne remet en question ce fait, et si une personne le faisait, cette personne serait traitée de fou. C’est donc un puissant outil permettant de dominer la connaissance environnementale des gens et donc de contrôler leurs actions. Pourquoi? À cause qu’il existe une séquence d’événement qui fonctionne comme suit : notre PERCEPTION alimente notre CONNAISSANCE de notre environnement, duquel émerge la LUMIÈRE de la compréhension, duquel émergent nos PENSÉES, duquel émergent nos ACTIONS. C’est chaque fois la même séquence. Donc, si vous contrôlez la PERCEPTION qu’ont les gens, vous contrôlez leurs ÂMES, leurs PENSÉES et leurs CORPS. Tous autant que nous sommes, depuis notre naissance, nous avons subi l’endoctrinement générer par le conditionnement émanant du « point focal de la connaissance environnementale » orientée par la notion du temps tel que défini par le calendrier grégorien.

Mais, il existe d’autres formes de calendrier. Tous les plus anciens calendriers autochtones avaient un point en commun, ils comportaient une série de 360 jours. Les archéologues ont interprété cet état de fait en déduisant que les autochtones, à cause qu’ils étaient des peuples primitifs, n’avaient qu’une vague connaissance du cycle annuel solaire, ce que la doctrine grégorienne appelle « l’année ». Donc, ces 360 jours n’étaient qu’une approximation de la durée de ce cycle faute d’avoir la « connaissance » nécessaire pour en évaluer la durée réelle.

Les Mayas avaient un calendrier comportant 360 jours, qui sera examiné ultérieurement, et pourtant ils connaissaient avec une très grande exactitude la durée du temps que prend la Terre à faire le tour du Soleil. En effet ils aboutirent à la conclusion que l'année solaire véritable compte en réalité 365,242 000 jours, un résultat plus précis que le calendrier grégorien qui compte 365,242 500 jours, alors que les calculs les plus récents fixe la durée véritable de la révolution de la terre autour du soleil à 365,242 198 jours

Cette information servait de base pour l'élaboration de leur calendrier nommé HAAB. Ce calendrier servait à décrire le cycle annuel de l’agriculture lié très étroitement à l’économie de ce peuple. Ainsi, ce calendrier permettait aux administrateurs des cités/états de conserver un registre et une comptabilité des activités liées à l’économie, telle la perception des taxes. Le calendrier HAAB est formé de 18 uinal, ou périodes "mensuelles" de 20 kin, ou jours, et se termine avec une période de 5 jours d’attente nommée "uayeb", signifiant  "Celui qui n'a pas de nom" et représenté par un glyphe associé à l'idée de chaos. Les Mayas croyaient que durant cette courte période ils ne pouvaient compter sur l’aide des dieux qui se reposaient (l’on a tous besoin d’une petite vacance de temps à autre) et les cérémonies célébrées durant cette courte période servaient à préparer leurs retours. La chronologie de ce calendrier envisageait des cycles de 20 ans, de 400 ans (=202), de 8 000 ans (=203), de 160 000 ans (=204), de 3 200 000 ans (=205) et même de 64 000 000 d'années (=206)[14].

   

 

Mais si toutes ces anciennes civilisations possédaient un calendrier comportant 360 jours… peut-être avaient-ils perçu autre chose que le mouvement de la Terre autour du Soleil. Est-il possible que leurs attentions fussent attirées par des éléments NON-PHYSIQUE?

 

 

[1] Basé sur le texte de la conférence « Welcome to the Evolution: Mayan Calendar Comes North (Condor Flies to the Eagle) » donné par Ian Xel Lungold à Whitehorse dans le territoire du Yukon, le 22 juin 2004. cf : www.mayanmajix.com . Je remercie Michael D. Shore, administrateur du site web « Mayan Majix » de m’avoir autorisé à retranscrire une partie de l’enseignement transmit par Ian lors de ces conférences.

[2] Quetzalcoatl (« Serpent à plumes » en nahuatl) est le nom aztèque d'une divinité du Mexique, l'un des principaux dieux des civilisations de l'aire méso-américaine. Le nom signifie littéralement quetzal-oiseau serpent ou serpent avec des plumes des Quetzal (ce qui signifie quelque chose de divin ou de précieux) dans la langue nahuatl. La civilisation maya le connaît comme Kukulkán, et il est étroitement lié au processus évolutif de notre conscience relaté dans le calendrier maya. (cf : Wikipédia).

[3] Pallas symbolise la capacité de ce véhiculer dans l’invisible, et donc de percevoir au-delà de ce qui est considéré comme normal ou visible, nous permettant ainsi de pénétrer consciemment les dimensions plus subtiles de notre réalité ou conscience. (cf : Richard Doyle ~ Les Nouvelles Frontières de l’astrologie, page 280, Édition du Rocher, septembre 2006).

[4]Vesta est l’incarnation de la flamme sacrée. La flamme est la limite entre la matière dense et la matière subtile, elle est donc considérée comme l’un des plus puissants véhicules nous permettant de pénétrer les différentes dimensions plus subtiles de notre conscience. L’astéroïde Vesta, étant le seul astéroïde perceptible à l’œil nu, a une fonction similaire à la flamme, car il nous conduit à la limite de notre perception visuelle physique, et donc au seuil d’une dimension plus subtile de notre conscience. (cf : Richard Doyle ~ Les Nouvelles Frontières de l’astrologie, page 284, Édition du Rocher, septembre 2006).

[5] Logos : Divinité suprême incarnant la raison humaine, chez les stoïciens. Être intermédiaire entre Dieu et le monde, chez les néo-platoniciens. La raison humaine incarnée par le langage. Le Verbe de Dieu; Jésus. (cf : Antidote)

[6] Dans le texte anglais : « consciousness ».

[7] Information transmise par Guylaine Côté.

[8] Doctrine psychologique qui propose d’étudier le comportement de façon scientifique et expérimentale, et qui exclut de son champ les données de l’introspection considérées comme étant invérifiables par nature. (Cf : Antidote)

[9] Psychologue américain, Kurt Lewin (1890 – 1947) est né dans une famille Juive, en Allemagne. Il fit des études en science et en philosophie. Puis il s'intéressa à la psychologie. Kurt Lewin écrivit son premier essai de psychologie en 1917. Il étudia la Gestalt à Berlin. Puis il s'intéressa à la psychologie industrielle et aux questions agricoles. Selon lui « rien n'est plus pratique qu'une bonne théorie.» La théorie doit expliquer et ouvrir des perspectives. Des concepts doivent être développés.  Kurt Lewin, professeur de psychologie à l'université de Berlin (1926), fut amené à étudier la psychologie sociale au moment de son départ pour les États-Unis (nécessité de fuir le nazisme). C'est Kurt Lewin qui est l'initiateur de la théorie du champ. Le niveau d'aspiration, l'apprentissage, les concepts de frustration et de régression furent aussi parmi ses sujets d'étude. Il étudia aussi la dynamique interne des groupes et développa une théorie du changement. (Cf : Dicopsy  ~ Dictionnaire de psychologie)

[10] Les trois champs de réflexions philosophiques grecs sont basés sur la conception atomiste épicurienne (matière), la conception aristotélicienne ( l’âme ou l’amalgamation de la matière et de l’esprit) et la conception stoïcienne (l’esprit).

[11] Le Grand attracteur est une région mystérieuse qui attire tout l'entourage de la Voie lactée et des amas proches.

[12] Attribuée à saint Malachie d'Armagh, évêque d'Irlande né en 1094 et mort en 1148 à Clairvaux, la « Prophétie des papes » fut publiée pour la première fois en 1595. Elle est constituée de 111 devises latines qui correspondent aux 111 papes qui, selon lui, règneraient depuis Célestin II (1143-1144) jusqu'à la fin du monde. Successeur de Jean-Paul II, Benoît XVI serait le dernier pape avant la réalisation de la prophétie finale mentionnant un pape du nom de Pierre le Romain qui n'accéderait pas au trône.

[13] Jean-Charles de Fontbrune ~ Histoire et prophétie des papes ~ page 197, Éditions du Rocher, 1984.

[14] Le calendrier HAAB: The Mayan Calendar Portal ~ mayaportal.lucita.net/, et George Ifrah ~ Histoire universelle des chiffres ~ Robert Laffont, 1994, Le calendrier maya, page 730. 

 

 

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La connaissance de notre environnement

Qu’est-ce qu’un calendrier?

Une seule Loi

Le calendrier grégorien

 

 

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Les calendriers mayas

Carl Johan Calleman

La structure du calendrier maya

 

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Les cycles constituant le calendrier

Ian Xel Lungold, un messager de La Lyre

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mise à jour 2 juin 2009